Le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine 2008, s’est éteint paisiblement le 8 février 2022 en présence de ses enfants. 18 août 1932 – 8 février 2022
Le professeur français, à l’origine notamment de la découverte du virus du sida, a évoqué depuis plusieurs mois le fait que «les variants viennent des vaccinations. La vaccination est une énorme erreur scientifique et une faute médicale. C’est inacceptable. Les nouveaux variants sont la production, la résultante de la sélection due à la vaccination».
À la question « D’où viennent les variants ? », le professeur français a répondu : « C’est très simple ». Pour lui, « les variants viennent des vaccinations. Le virus a une capacité de changer très forte […]. » « Le virus de Chine a un vaccin, c’est-à-dire des anticorps produits par un vaccin, et qu’est-ce qu’il va faire, le virus ou bien mourir ou trouver des solutions. Les nouveaux variants sont la production ou du moins la résultante des vaccinations ».
Il a évoqué également la situation épidémiologique de l’Inde pour tenter d’appuyer sa théorie selon laquelle vaccination et mortalité auraient un lien : « Et donc, vous voyez toujours dans les pays, même pour l’Inde, maintenant, c’est pareil, la courbe des vaccinations et même la courbe des morts qui suit […] »
« On est quand même dans une situation très sérieuse à l’heure actuelle. Parce que ces nouveaux variants donnent des effets secondaires », explique le biologiste. « Même le virus de départ donne des effets secondaires, et des effets immédiats qui sont supportables si on peut dire mais ensuite, il provoque des myocardites, des effets cardio-vasculaires et qui tuent. Il y a des gens qui meurent de ces myocardites, un des effets du vaccin », juge le professeur Luc Montagnier.
« Médecin-chercheur de formation, j’ai mon éthique », explique le professeur Luc Montagnier. « Toute mort par un médicament, un vaccin, doit être comptée comme quelque chose de sérieux et quand il y a plusieurs morts, c’est vraiment un problème », juge le virologue. « Je ne supporte pas l’idée qu’on dise que dans le rapport bénéfices-risques, vous avez des risques mais le rapport bénéfices est bien meilleur pour les autres », explique le biologiste au micro de Sud Radio. « Ce n’est pas vrai parce que beaucoup de souffrance vient de cette conception ».
« Maintenant, vous avez l’effet des prions »
Aujourd’hui, « on en est à la troisième phase » pour le professeur Luc Montagnier. « La première phase, c’est les effets secondaires assez communs mais qui ne durent pas très longtemps mais qui donnent déjà des morts », explique-t-il. « Vous avez ensuite les effets cardio-vasculaires », continue le biologiste. « Et maintenant, vous avez l’effet des prions », explique le professeur Luc Montagnier.
« Ce sont d’autres morts qui arrivent, et ces gens sont morts de la maladie de Cossen-jacob », explique le professeur Luc Montagnier au micro de Sud Radio. « Cette maladie est très rare, normalement, quand elle est sporadique, c’est un cas sur un million », explique-t-il. « Là, c’est un groupe de 7 personnes indépendantes les unes des autres avec des médecins différents qui sont atteints de cette maladie. Le facteur commun est qu’ils ont été vaccinés par deux doses de vaccin Pfizer », continue le virologue. « C’est à la deuxième dose que ça apparaît des petits signes et puis les signes généraux de la maladie apparaissent ». « On ne peut pas prouver que c’est causé par les vaccins », explique-t-il, « mais il faut quand même regarder cette hypothèse ». « Parce que le seul facteur commun entre ces personnes c’est d’avoir été vacciné par le même vaccin ».