Depuis le début de soirée, nombreuses personnes patientent pour pouvoir écrire un message sur le registre des condoléances ouvert à l’Elysée comme le montre cette photo prise par l’un de nos photographes.
« Un jour, je lui ai serré la main. Je me souviens de son sourire », explique Emmanuel, l’un des anonymes qui q fait déplacement et par ailleurs ancien agent de sécurité au musée du Quai-Branly.