Une semaine après sa démission, François de Rugy a été dédouané des accusations de dépenses excessives lorsqu’il était président de l’Assemblée nationale et ministre de la Transition écologique par deux enquêtes distinctes qui concluent – dans l’ensemble – à l’absence d’irrégularités. (Image: archive).
“Je me présente devant vous ce soir en homme blanchi,(…) en honnête homme”, a réagi l’ex-ministre dans le cadre du journal de 20 heures de France 2.
François de Rugy, qui fut président de l’Assemblée de juin 2017 à septembre 2018, a fustigé “un journalisme de démolition” de la part du site d’informations Mediapart, à l’origine de la polémique, qu’il a attaqué en diffamation.
“Il n’y aurait jamais dû y avoir d’affaire De Rugy, en revanche aujourd’hui, c’est sûr, il y a une affaire Mediapart. Cette affaire se réglera au tribunal”, a-t-il dit alors qu’au même moment, le site diffusait de “nouveaux éléments” attestant selon lui d’un mélange des genres.