La CGT a dénoncé une “répression inouïe” à l’occasion de sa manifestation du 1er-Mai à Paris, qui a donné lieu à des heurts avec les forces de l’ordre et dont son secrétaire général, Philippe Martinez, a selon elle été victime.
En réponse à ces protestations, la préfecture de police de Paris a démenti avoir pris la CGT pour cible.
Selon des journalistes sur place, des dizaines d’individus violents se sont mêlés aux manifestants en tête du cortège de la CGT et de plusieurs autres syndicats, qui s’est déroulé entre Montparnasse et la place d’Italie.
«Les forces de l’ordre ont pour mission de faire respecter l’ordre républicain, qui permet à chacun d’exprimer ses opinions en toute sécurité. La CGT n’a jamais été la cible des policiers et gendarmes qui ont assuré leur mission avec détermination face à des casseurs violents », a déclaré la préfecture de police dans un communiqué posté sur Twitter.